Recueil de citations, humour et histoires originales (par Yahia Torchiat)

ESI > Articles > Non classé > Recueil de citations, humour et histoires originales (par Yahia Torchiat)
RECUEIL DE CITATIONS  NOTES D’HUMOUR
 
ET HISTOIRES ORIGINALES
 
 
Il nous arrive de nous dire,
 
Qu’il n’y a pas de  plus lent temps,
 
Que celui qu’on attend, surtout,
 
Quand il s’agit d’un heureux événement,
 
Alors que ce qui arrive à temps,
 
N’est autre que celle qui nous attend,
 
Qu’on se doit d’évoquer souvent,
 
Sans pour autant citer son nom :
 
Il s’agit tout simplement de celle
 
Qui ne fait aucune exception ni distinction.
 
 
 
 
 
AVERTISSEMENT
 
 
     Avant tout, je me dois de demander l’indulgence des lecteurs pour ne pas avoir cité les
 
auteurs des citations qui ne sont autres que celles que j’ai acquises par l’école de la vie.
 
 
     A l’exception de la technologie et de la science qui évoluent de jour en jour, tout ce
 
qu’on dit aujourd’hui, n’est que ce qu’on a recueilli sur les traces de nos ancêtres.
 
par :  

TORCHIAT YAHIA

Né le 27.10.1950, au village Aourir athehsiyen

Commune Akfadou, Wilaya de Béjaia.

                                              Fonctionnaire à l’ESI (ex : CERI  en passant par  l’INI)   

 

                                              

 
 
 
 
 

 

 

 

TORCHIAT YAHIA

Né le 27.10.1950, au village Aourir athehsiyen

Commune Akfadou, Wilaya de Béjaia.

fonctionnaire à l’ESI

 

(ex : CERI  en passant par  l’INI)

                                             

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RECUEIL DE CITATIONS  NOTES D’HUMOUR

 

ET HISTOIRES ORIGINALES

 

 

                       

 

 

 

AVERTISSEMENT

 

 

 

    Avant tout, je me dois de demander l’indulgence des lecteurs pour ne pas avoir cité les

 

auteurs des citations qui ne sont autres que celles que j’ai acquises par l’école de la vie.

 

   C’est en m’inspirant du proverbe qui dit : il faut un peu de tout pour faire un monde, que

 

l’idée m’est venue d’écrire un peu de tout et ce, dans l’espoir de faire plaisir a tout le monde.

 

   C’est dans ce contexte qu’il ma paru de commencer par la plus juste

 

 

 

 

Il nous arrive de nous dire,

 

Qu’il n’y a pas de  plus lent temps,

 

Que celui qu’on attend, surtout,

 

Quand il s’agit d’un heureux événement,

 

Alors que ce qui arrive à temps,

 

N’est autre que celle qui nous attend,

 

Qu’on se doit d’évoquer souvent,

 

Sans pour autant citer son nom :

 

Il s’agit tout simplement de celle

 

Qui ne fait aucune exception ni distinction.

 

 

    

 

 

    

CITATIONS

 

 

 

 

Un sourire ne vaut rien

 

Mais il est agréable à voir

 

C’est un signe de bienveillance

 

Il inspire la confiance

 

Il encourage l’enfant et

 

Réconforte les malades.

 

 

Le rire est conseillé pour l’estomac

 

Il guérit l’ulcère pour celui qu’il a

 

Il l’évite pour celui qui ne l’a pas.

 

 

Il n’y a pas de plus heureux

 

Qu’un souvenir heureux

 

Dans un temps malheureux.

 

 

Tout être de bonne foi

 

Se doit de souhaiter à son prochain

 

Ce qu’il souhaite pour soi

 

 

Nul ne peut s’estimer fort

 

Que s’il est maître de soi

 

 

Il n’y a pas de plus dur combat

 

Que celui de lutter contre soi

 

 

Tout mal vient de soi

 

C’est par soi qu’il est réparé

 

C’est par soi qu’il reste impuni

 

 

 

 

 

Derrière un rideau blanc

 

Il y a toujours un rideau noir

 

Et vice-versa

 

 

Ne jamais forcer le destin

 

N’accueillir le bonheur

 

Que d’une seule main

 

Car un malheur peut le suivre

 

Et vice-versa

 

 

 

Chaque maladie a son  traitement

 

Chaque douleur est suivie d’un

 

Soulagement …comme après

 

La pluie vient le beau temps.

 

 

Toutes les choses vont de paires

 

Le fond et la forme

 

L’art et la manière

 

Le geste à la parole

 

La théorie et la pratique …etc.

 

Surtout le travail et la vigueur, soit,

 

Deux clés pour garantir l’avenir d’un pays

 

On peut tromper quelqu’un chaque fois

 

Quelques uns des fois

 

Mais pas tout le monde à la fois

 

 

On peut aider quelqu’un auquel il

 

Manque 1 point pour faire 20

 

On peut aider quelqu’un auquel il

 

Manque un bout pour avoir le tout

 

Mais pas celui qui n’a rien du tout …

 

A moins qu’on lui donne le tout.

 

Quand on a affaire à quelqu’un

 

Sans foi ni loi

 

Il nous reste qu’une seule voie :

 

Celle de la résignation.

 

 

 

Tous les vices se corrigent avec le temps

 

A l’exception d’un seul où tout

 

Le  monde  a échoué :

 

Celui des stupéfiants.

 

 

Tout meurt chacun à son trépas

 

Seule dans l’univers

 

La vertu ne meurt pas.

 

Quoiqu’on dise quoiqu’on fasse

 

Il y a toujours un retour à l’évidence :

 

Celle de retourner d’où et comme on

 

Est venu … vide et nu.

 

 

 

Le meilleur don est de partager

 

Le peu qu’on a  et ce avec discrétion

 

Car la façon de donner vaut plus que le don

 

 

A quoi bon de monter très haut

 

Illégalement puisque on finira par

 

Dégringoler … et plus dure sera la chute.

 

On ne reconnaît la valeur de l’eau

 

Que lorsque le puit est à sec

 

En voulant trop gagner

 

On risque de tout perdre

 

Les visites rarement

 

Sont les plus aimées souvent

 

 

 

Méfies toi de tes amis

 

Tes ennemis tu les connais.

 

La nuit porte conseil

 

Mieux vaut dormir avec un souci

 

Que de se réveiller avec un remord

 

Ou un regret

 

Chacun a sa façon de voir

 

Même si on a la même vue

 

Mais on n’a pas le même regard   .

 

 

Ne jamais reculer devant son devoir

 

Est le propre de l’homme.

 

 

La curiosité est un vilain défaut

 

Quand elle s’ingère dans l’intimité

 

Mais quand on l’exploite dans le

 

Domaine du savoir : Elle devient

 

Intellectuelle.

 

 

 

L’homme se doit de se distinguer par

 

Son savoir et non par son avoir

 

Il est vrai qu’il y a ceux qui sont

 

Uniquement gardiens ou esclave de

 

Leur argent, mais il y a également ceux

 

Dont leur argent leur apporte le respect

 

La considération et l’honneur :

 

Ce sont ceux qui l’exploitent dans

 

Les domaines d’emploi, de nobles actions

 

Du développement et de la recherche

 

 

 

Dans les yeux d’un jeune

 

Il y a des flammes

 

Dans ceux d’un vieillard

 

Il y a de la lumière

 

Ton petit déjeuner, tu le prends seul

 

Ton déjeuner tu le partages avec ton ami

 

Ton dîner tu le donnes à ton ennemi

 

Soit,

 

Manges très bien le matin

 

Moyen l’après midi

 

Très peu le soir,

 

 

 

 

NOTES D’HUMOUR

 

 

Le poisson et l’appât

 

 

 

Un poisson vient accueillir l’appât :

 

Que fais-tu ici ! Toi qui n’est pas d’ici ?

 

Attention ! Lui dit le poisson ;

 

Celui qui m’a envoyé n’est pas loin d’ici ;

 

Si tu me manges ;

 

Il te mangera toi aussi.

 

 

 

Un journal non imprimé

 

 

 

 

Par une belle nuit d’hiver, ensoleillée ;

 

A la lumière d’une bougie éteinte ;

 

Un vieux jeune homme debout assis ;

 

Sur une pierre en bois rouillé ;

 

Lisait un journal non imprimé ;

 

Plié en quatre dans sa poche ;

 

Où il découvre la mort de ses enfants

 

Qui ne sont pas encore nés.

 

 

 

 

 

Test pour malades mentaux

 

 

 

 

Après un long traitement, un psychiatre fait un test à deux de ses malades ;

 

Bon ! Toi tu te mets à coté de cette table et tu fais en sorte que tu es un boucher ;

 

Quant à toi « en s’adressant au second », tu fais en sorte que tu es un client et vas chez le

 

boucher ;

 

Le client s’adresse au boucher : Donnez moi du paracétamol ! Je suis désolé, lui répond le

 

boucher ;

 

Le médecin tout content, vient interroger le boucher qu’il croyait conscient ;

 

Pourquoi tu ne veux pas lui vendre ?

 

parce qu’il n’a pas d’ordonnance.

 

 

 

 

 

 

Souhait d’un enfant appelé à être scolarisé

 

 

 

 

Le père fait visiter à son fils l’école où il sera scolarisé plus tard ;

 

Il le fait entrer dans une classe et lui dit :

 

Mon fils ! C’est ici que tu apprendras à lire et à écrire

 

C’est là où tu  construiras ton avenir au même titre

 

Que tous ces enfants ;

 

Un instant après, son fils lui répond ;

 

Et le grand en face  qu’est ce qu’il fait ici ?

 

C’est un instituteur mon fils ;

 

Et pourquoi il a un bâton à la main ?

 

C’est pour frapper les enfants qui ne savent pas lire ni écrire ;

 

Dans ce cas dit l’enfant : Tu m’inscriras pour faire instituteur.

 

 

 

 

 

 

Conditions  exigées pour un mariage

 

 

 

 

Un vieux couple se sentant très fatigué

 

Et ayant besoin d’une personne pour les assister,

 

N’a autre choix que de marier leur seul et unique garçon,

 

Agé de 40 ans, chômeur et sans profession.

 

La maman ira voir son fils pour lui tenir le langage suivant :

 

Chers fils ! Je suis très vielle, je ne peux plus m’occuper

 

de toi et de ton père en même temps,

 

Il nous faut quelqu’un pour nous aider,

 

Ne serait-ce pour nous préparer des repas chauds,

 

Laver et repasser le linge…surtout le tien ;

 

Cher fils : je pense qu’il est temps de te marier ;

 

Après une longue réflexion, son fils lui répond :

 

 

 

Chère maman : Je te comprend parfaitement,

 

Mais je te demanderai de me comprendre également ;

 

Chère maman ! Les temps ont changé et les êtres aussi ;

 

L’époque où vous viviez d’amour et d’eau fraîche est finie ;

 

De nos jours, il n’y a plus de mariage d’amour ni de raison…

 

Il n’y a que des mariages d’affaires.

 

Chère maman ! Si tu veux que j’exauce ton vœu,

 

Il te faudra exaucer le mien :

 

Il faut me trouver une fille qui répond à mes conditions ;

 

Quelles conditions ! Mon fils ?

 

Il me faut une blonde aux yeux verts,

 

 

 

 

Grande et taille fine,

 

Ne dépassant pas les 25 ans,

 

Possédant un grand logement à défaut d’une villa et deux voitures…

 

La maman ira voir son époux pour lui faire part des conditions de son fils ;

 

Son mari plus curieux qu’étonné lui répond :

 

Chère madame ! S’il existe des filles de ce genre :

 

Moi aussi j’en voudrai une.

 

 

 

 

 

Le rêve inassouvi d’un vieux célibataire

 

 

 

 

Un vieux célibataire s’achète tous les jours un journal

 

Où il ne s’intéresse qu’aux annonces concernant le mariage.

 

Un jour, il découvre l’annonce suivante :

 

Femme aisée ;

 

Agée de 40 ans ;

 

Taille fine ;

 

Brune aux yeux verts ;

 

Possédant villa :

 

Cherche un homme de 45 ans posé et cultivé;

 

Voilà enfin une femme qui sait ce qu’elle veut et qui vient de frapper à la bonne porte ;

 

Compte tenu des voyages et de l’école de la vie qui m’ont formé, je suis l’homme qu’elle

 

cherche ;

 

 

 

 

 

Il s’achète un bouquet de fleurs blanches et le voilà parti pour la demander ;

 

Après lui avoir présenté ses hommages, la femme l’accueille avec bienveillance et lui dit

 

d’attendre dans le couloir (Le temps qu’elle dépose les fleurs dans un vase);

 

Entre temps, le vieux célibataire s’est vu étonné par une variété de couvre-chefs accrochés au

 

portemanteau.

 

Quand la femme est revenue pour le faire entrer au salon, le vieux lui demande :

 

C’est quoi tous ces chapeaux et bérets ?

 

Ce sont les souvenirs de mes défunts maris;

 

Ce chapeau appartenait à un avocat ;

 

Ce béret à un pécheur ;

 

Cette casquette à un mécanicien…etc

 

 

 

Quant à ce grand bonnet  «  Le 7 ième », il appartient à un gros bonnet ;

 

Eh bien ! Chère madame Gros bonnet :

 

Je vous laisse mon manteau et mon chapeau

 

Et vous direz au prochain candidat qu’ils appartiennent

 

A un vieux de la vielle qui a su sauver sa peau.

 

 

 

 

 

 

 

Un mouton pour un permis de conduire

 

 

 

 

 SALIM persiste à avoir un permis auquel il échoue à chaque examen

 

et toujours à la même épreuve : Celle des intersections.

 

Curieux de savoir comment les autres l’ont eu, il alla s’informer

 

auprès de son ami, qui lui à répondu comme suit :

 

Mon cher ami SALIM ! Si tu veux avoir ton permis avec si SLIMANE,

 

tu devras lui offrir un cadeau.

 

Comme son prochain examen aura lieu une semaine avant la fête du mouton;

 

SALIM n’a pas trouvé de plus simple que de charger son ami d’un mouton à remettre à

 

l’ingénieur  SI SLIMANE  sans qu’il lui dise de la part de qui.

 

Le jour de l’examen, l’ingénieur SI SLIMANE demande à SALIM de faire passer les voitures

 

dans l’ordre.

 

 

 

Après une longue temporisation, SALIM commence à murmurer…

 

Hem ! hem ! …Normalement …Normalement…Enfin, je pense que !!!

 

Qu’est ce que tu veux dire par normalement que…etc, lui dit SI SLIMANE !

 

Je veux dire que normalement…c’est le mouton qui passe en priorité, mais bien sûr que c’est

 

le mouton qui est prioritaire , Bravo SALIM;

 

Toutes mes félicitations et merci pour le mouton.

 

 

 

 

 

 

Un fourgon chacal

 

 

 

 

SALIM (fils d’un émigré) qui s’est toujours contenté de son troupeau,

 

A  fini par être attiré par le monde de la civilisation ;

 

Pour sortir de la routine, il va voir son père pour lui faire part de sa proposition ;

 

Papa ! Je vais te demander une chose à laquelle je souhaiterai que tu sois d’accord ;

 

Que veux tu me demander ?

 

Pour être bref et clair, je te demanderai de m’acheter un fourgon ;

 

Mon fils ! Chaque chose a son temps et chaque être a sa vocation,

 

Sachant que tu n’es pas fait pour la conduite,

 

Je pense qu’il vaut mieux  t’occuper de tes moutons ;

 

Papa ! Dis-toi que j’ai déjà mon permis,

 

Et le fourgon dont je te parle appartient  à un ami,

 

Et je l’ai déjà conduit, c’est pour cela que je veux l’acheter.

 

 

 

Puisque tu as tout prévu, je vais te l’acheter, mais à l’avenir,

 

Je ne veux pas que tu me demandes de l’argent pour les réparations.

 

Le marché conclu, voilà que le lendemain,

 

 SALIM est devenu transporteur des voyageurs.

 

Aussi malheureux soit-il, dès le premier jour,

 

Il est tombé dans un fossé, il s’est vu contraint,

 

De vendre un mouton pour le réparer.

 

Un mois après, il heurte un camion,

 

Il vend deux moutons pour le réparer, ainsi de suite ;

 

Jusqu’au jour où il s’est fait heurté par un semi-remorque,

 

Alors qu’il ne lui reste plus de moutons,

 

 

 

 

Quelques mois plus tard, le vendeur rencontre SALIM;

 

Salut SALIM, comment vas-tu ?

 

Est-ce que tu travailles bien avec le fourgon ?

 

Laisse moi tranquille, tu n’est qu’un porte-malheur ?

 

Tu m’as vendu un chacal.

 

 

 

 

 

 

KHALTI Mliha et le chauffeur d’un fourgon

 

 

 

Khalti Mliha est de nature généreuse et gentille sauf quand on lui parle de son petit fils qu’elle

 

aime bien mais qui est nul en classe.

 

Un jour, elle est montée dans un fourgon où elle a pris place à coté du chauffeur qui la

 

connaît.

 

Voilà donc qu’une occasion se présente au  chauffeur pour la taquiner.

 

          Alors Khalti Mliha ! ça va bien ?

 

          La vielle voyant où il voulait en venir, a gardé le silence.

 

          Au sujet de ton petit fils, est ce qu’il va bien ?

 

          La vielle ne répond pas.

 

          D’après son beau cartable et ses beaux habits, cela prouve qu’il travaille bien en classe

 

          La vielle ne répond toujours pas, bien qu’au fond d’elle-même elle bouillonnait.

 

          Le chauffeur persiste : Si tu veux mon conseil Khalti Mliha ! quand il aura son bac,

 

           Je te conseille de lui choisir  la filière « Informatique ou médecine » :

 

           Ce sont deux domaines qui rapportent de l’argent.

 

          

            A ce moment, la vielle a fini par s’énerver et se retourner contre lui.

 

          Ecoute chauffeur : Moi j’ai fait mon devoir, il ne manque de rien,

 

      Et je lui paie même les cours supplémentaires ;

 

      Si jamais il aura son bac comme tu le dis : 

 

      Il aura ce qu’il mérite :

 

      S’il devient informaticien, je lui ouvrirai un cyber…où tu iras tchatcher…

 

     Car tu parles trop,

 

     S’il devient médecin, je lui ouvrirai un cabinet, où tu iras te soigner,

 

    Car tu es malade,

 

    S’il demeure toujours nullard, je lui achèterai un fourgon.

 

 

 

 

 

 

Une Surprise Inattendue

Suivie d’un Avantage Imprévue

 

 

Une parfaite harmonie régnait au sein d’une famille, jusqu’au jour, soit, 20 ans après, lorsque l’épouse surprend son mari en lui demandant le divorce.

D’emblée, le mari est resté bouche baie, ce n’est qu’un instant après qu’il a réagi.

– Chère épouse, de par ta générosité et ta bonté, j’avoue que tu me choques, j’espère que tu plaisantes!

Non ! Je ne plaisante pas et ce n’est qu’après mûre réflexion que je t’ai fait part de cette demande.

– Ai-je failli à quoi que ce soit, aussi bien envers toi ou envers nos enfants ?

Non ! Je reconnais que tu es un bon époux et tu as une bonne conduite seulement, il te manque un peu pour être complet : Et c’est ce peu qui me pousse et me donne raison de divorcer.

Tu n’as qu’un seul choix ; que tu m’accompagnes chez mes parents ou alors j’irai toute seule et c’est toi qui seras déshonoré.

Puisque tu es convaincue, je vais t’accompagner. Je souhaite seulement que tu reviennes sur ta décision.

En cours de route, son mari trébuche, tombe dans un fossé et il s’est fait casser une jambe.

Sa femme le relève doucement, et le transporte sur son dos jusqu’à la maison tout en prenant soin de lui jusqu’à sa guérison.

Quelques mois plus tard, le mari interroge sa brave épouse :

– Chère Madame, je dois avouer que je n’ai rien compris. Tu m’as demandé le divorce, j’ai accepté. Je suis blessé et tu m’as soigné et maintenant que je suis guéri, tu as renoncé à ta demande.

Cher époux : Tu viens d’avoir le peu qui te manquait et à partir de maintenant, nous allons revivre en harmonie.

– Qu’il est ce peu qui me manquait ?

Cela fait 20 ans depuis qu’on s’est marié, tu n’es jamais tombé malade ni eu même un mal de tête : Alors que pour se purifier de leurs fautes, mêmes les prophètes souhaitent tomber malades.  

 

 

 

 

Une vieille chez le médecin

 

 

Une vieille se plaignant toujours de maux d’estomac, se rend chez un médecin.

Bonjour Docteur !

– Bonjour El Hadja ! Qu’est ce qui ne va pas ?

J’ai toujours des ballonnements et des nausées.

– Qu’est ce que vous mangez souvent ?

Je mange un peu de tout, mais le problème n’est pas lié à ce que je mange,

mais plutôt à ce que je pense.

– Qu’est ce vous pensez El Hadja ?

J’ai toujours l’impression d’avoir bu ou manger le double.

– Dans ce cas, il vous suffit de raisonner autrement.

S’il vous faut deux plats : Vous en prenez un et dites-vous que vous en aviez pris le double et de même pour la boisson.

S’il vous faut deux verres d’eau, vous en buvez un et dites vous que vous en aviez bu le double.

Eh ! Bien Docteur, je vous présente mes compliments pour votre traitement sans médicament.

Combien vous dois-je Docteur ?

– Vous me devez 800 dinars El Hadja.

Les voila Docteur et merci beaucoup.

– Mais !! Mais vous m’avez remis 400 dinars El Hadja.

C’est possible Docteur, mais pour moi je vous ai donné le double. 

 

 

 

 

A  propos de la femme

 

 

 

 

On dit que la femme est insondable ;

 

La femme est comme une ombre ;

 

Elle nous suit quand on la fuit ;

 

Elle nous fuit quand on la suit ;

 

Toujours est-il, il y a lieu de reconnaître ;

 

Que la femme mérite le respect et la considération ;

 

Pour sa présence constante et sa bienveillance ;

 

Envers ses enfants, son mari, ses parents et sa patrie ;

 

 

 

 

En restant toujours dans le domaine de la femme ;

 

Voici une charade ;

 

Mon premier, c’est ce que fait l’homme à la femme ;

 

Mon second, c’est ce que cache la femme à l’homme ;

 

Mon troisième, c’est ce que la femme attend de l’homme ;

 

Pour ne pas induire le lecteur à l’erreur, ou à se faire une mauvaise interprétation ;

 

Je me dois de donner la réponse ;

 

L’homme fait la cour à la femme ;

 

La femme cache son age à l’homme ;

 

La femme attend de l’homme un court-âge ;

 

 

 

 

 

A propos de l’homme

 

 

 

A 20 ans, il est comme un papillon…il se pose sur toutes les fleurs ;

 

A 30 ans, il est comme un train de banlieue…il s’arrête à toutes les gares ;

 

A 40 ans, il est comme un train rapide…il s’arrête aux grandes gares ;

 

A 50 ans, il est comme un train de marchandises…il s’arrête une seule fois au terminus ;

 

A 60 ans, il se voit comme un Album…où il consulte ses souvenirs : ce qui est mon cas, et

 

qui s’exprime par la page suivante.

 

 

 

 

 

La page de mon passé

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    Le quarantième anniversaire de notre école, a suscité en moi, la curiosité d’ouvrir mon

 

     album, d’où j’ai titré ces deux photos historiques du C.E.R.I. où je figure quand j’avais

 

mes 27ans.

 

C’est au sein de cet établissement que j’exerce mes fonctions depuis 1975 à ce jour, pour dire

 

tout simplement, que c’est ici que j’ai vieilli et vécu tous les progrès de l’informatique :

 

Allant du système Batch « traitement par lots » à la micro-informatique, en passant par le

 

système inter-actif jusqu’à l’ère actuelle où l’Internet a réduit le monde jusqu’à une table

 

ronde.

 

En consultant mon album, cela m’a permis de revoir la page de mon passé

 

Que mon cœur veut relire et que nul ne peut effacer,car elle fait partie de mes meilleurs

 

Souvenirs ;

 

Ces souvenirs m’ont évoqué le bon vieux temps :

 

L’époque des galas, des fêtes semestrielles,  des excursions et des tournois entre enseignants,

 

étudiants et travailleurs.

 

L’époque du foyer où les filles accordaient une danse aux garçons sans complexe ni arrière

 

pensée.

 

L’époque où les étudiants sont parfois contraints de perforer eux même leurs cartes en

 

utilisant une lame : Vous ne pouvez imaginer la précision et le temps que cela demande pour

 

perforer une seule carte.

 

C’était l’époque où l’on disait que le meilleur programmeur est celui qui détecte ses erreurs.

 

L’époque où notre meilleure passion était la lecture, la poésie, les chansons et dont même

 

notre passe-temps, portait sur des jeux instructifs : Les jeux d’échecs, les mots croisés et le

 

scrabble.

 

L’époque où l’on pressait le pas pour nous rendre au travail…Car le travail c’est la santé.

 

C’était l’époque où toutes les fonctions s’exerçaient par vacation, amour et conviction.

 

Je profite de l’occasion pour lancer un message aux étudiants.

 

 

 

Chers Etudiants

 

De par mes 34 ans de service au sein de votre communauté (ce qui m’a permis de garder

 

l’esprit jeune) : Je vous considère comme mes enfants.

 

Chers enfants :

 

Je ne saurai quoi vous dire, si ce n’est ce que l’école de la vie m’a appris et que l’expérience a

 

démontré.

 

Sachez qu’une seule raison vous suffit pour vous estimer très heureux : Celle d’être étudiant.

 

Comme l’a si bien dit un philosophe : je donnerai 20 ans de ma vie, juste pour redevenir

 

étudiant

 

La période estudiantine est comme le printemps et l’étudiant est comme un papillon.

 

L’idéal pour vous serait de joindre l’utile à l’agréable, soit, vivre votre phase avec ses joies et

 

ses difficultés tout en réussissant vos études afin de garantir votre avenir et vous préparer au

 

monde actif.

 

Le chemin de l’étudiant tend vers le savoir et le savoir est la clef de tout.

 

C’est par le savoir qu’on peut instaurer la paix, mettre fin à la pauvreté et créer l’union des

 

cœurs et rivaliser les pays développés.

 

C’est par le savoir tout simplement, qu’on peut accéder au monde de la civilisation.

 

C’est dans ce contexte que je vous souhaite la réussite et le progrès. 

 

Je profite de l’occasion pour présenter mes hommages à tous ceux qui contribuent au progrès

 

de notre Ecole qui se prépare à répondre aux aspirations de nos enfants  « les enfants de

 

l’Algérie »

 

 

                                                                 

 

 

 

La Nocive

 

Va t-en je n’en veux  plus de  toi !

 

Chaque nuit, je ne cesse de méditer ;

 

Pour trouver une raison de te quitter ;

 

Bien que les raisons n’en manquent pas ;

 

A commencer par la santé.

 

Chaque nuit. Je me dis demain c’est fini ;

 

Et pourtant dés que je me réveille ; 

 

C’est toi qui me viens à l’esprit ;

 

Je t’ai assez supporté ;

 

Tu m’as roulé, ruiné et rouillé ;

 

Je ne te supporte plus.

 

J’ai pu combler le vide que  m’a laissé ;

 

Ma plus chère au monde: [ma mère] ;

 

Celle qui me traitait avec affection et tendresse ;

 

Qui me serrait fort contre son cœur ;

 

Qui me berçait et restait à mon chevet .

 

J’ai pu également me passer ; 

 

De son sein qu’elle me donnait ;

 

Pour me nourrir pour m’endormir et grandir.

 

Je me demande comment me suis-je attaché ;

 

A celle qui nourrit mes maladies ;

 

Qui m’a fait souffrir et vieillir ;

 

Qui nuit à l’humanité ;

 

Qui a fait de moi un squelette :

 

Et qui n’est autre que la cigarette.

 

 

 

REVENONS A LA RAISON

 

Lors d’un moment de faiblesse, il nous arrive de penser :

 

          Qu’il n’y a que les malheurs qui arrivent a l’heure

 

          Que ce qu’on attend avec impatience ne vient que pour endommager ;

 

Une plaie déjà infectée.

 

          Que toujours au moment où la paix commence a régner ;

 

Il y a une raison pour la briser : Alors qu’un malheur n’arrive jamais seul

 

et le plus souvent, il nous procure des avantages imprévus.

 

Dieu est au dessus de tous, il est maître

 

De l’univers et notre créateur

 

On se doit d’accueillir favorablement

 

Tout ce qui nous provient de Dieu, car

 

Il ne nous donne jamais quelque chose

 

À notre détriment.

 

S’il nous arrive d’être victime d’un

 

Accident, de tomber malade de temps

 

En temps et même souvent :

 

Ce ne sont que des messages, pouvant

 

Nous purifier de nos fautes afin de nous

 

Ramener à la raison.

 

 

Je ne suis pas un intellectuel ni un

 

Economiste pour apporter un jugement,

 

Seulement, quand je pense que Dieu nous a fait don :

 

D’une terre d’art et d’espoir ;

 

D’un pays de quatre saisons ;

 

D’une richesse du sol et du sous-sol ;

 

D’une vaste mer méditerranée ;

 

D’un merveilleux pays tous simplement ;

 

Alors qu’un simple travailleur en tant;

 

Que père de famille ne peut pas se permettre ;

 

Certains fruits et légumes durant leur saison ;

 

Une quantité suffisante en gaz butane;

 

Pour se chauffer en hiver ;

 

Ni même un Kilo de sardine en été.

 

Quant au poisson, le poulet, la viande ;

 

Et les voyages …ce ne sont qu’un rêve pour lui;

 

…qu’en dira celui qui n’a aucun revenu…

 

Plus malheureux encore, ce même;

 

Père de famille, se verra privé d’un ;

 

Bout de viande même durant le;

 

Ramadhan et ce à cause de la flambée;

 

Des prix qui commence bien avant;

 

Aussi paradoxal que cela puisse paraître :

 

Le mois le plus sacré ;

 

Le mois de la foi;

 

Porteur de paix, de réconciliation ;

 

Et de l’union des cœurs: est devenu

 

La période idéale pour s’enrichir.

 

Plus grave encore, ce même père

 

De famille qui  souhaite vivre dignement

 

Se voit contrarié au point, où il ne peut plus

Se permettre d’aller au marché, au jardin ni

 

Voyager avec ses enfants à cause des grossièretés et des insultes

 

Qu’il ne peut pas supporter : Alors que notre religion nous ordonne

 

Toutes le bonnes mœurs et nous interdit toutes les mœurs viles.

 

 

 

Conclusion

 

 

 

 

    Je dédie ce modeste ouvrage à mon ami Idir, estimé de tous ceux qui le connaissent :

 

Pour  sa conduite, son dévouement, sa passion pour la lecture et surtout pour la photo.

 

   Mon ami est actuellement condamné à garder le lit, suite à une grave maladie (la sclérose en

 

plaques).

 

   En guise de témoignage à la solide amitié qui nous a uni durant de longues années, je me

 

dois de trouver une solution pour l’aider.

 

  Après mûre réflexion, ce n’est qu’après et par la publication de ce modeste ouvrage que je

 

peux lui rendre un grand hommage.

 

  Je profite de l’occasion pour rendre hommage :

 

v  A tous ceux qui ne reculent pas devant leur devoir

 

v  Aux chercheurs porteurs d’espoir

 

v  A tous ceux qui luttent pour le savoir

 

 

 

 

La vie est un monde que l’on cherche quand on ne l’a pas

 

Et qu’on ne voit pas quand on l’a.

 

Tant qu’on en demande plus, cela prouve qu’on n’est pas satisfait.

 

Il serait donc plus sage de se conformer à notre religion.

 

Le meilleur de tous est celui qui se contente de ce qu’il a.

 

Le plus heureux est celui qui a une bonne compagne.

 

L’aimé de Dieu est celui qui meurt avant sa compagne,

 

Car ce n’est d’elle dont il aura besoin à un âge certain.

We are using cookies to give you the best experience. You can find out more about which cookies we are using or switch them off in privacy settings.
AcceptPrivacy Settings

GDPR